vendredi 19 février 2010

PRIX ECO REPORTAGES 2009 : Un Drômois lauréat



Le Club de la presse Drôme-Ardèche qui est toujours à la pointe en ce qui concerne l’environnement et le développement soutenable a créé en 2009, avec le soutien entier et motivé de la CCI de la Drôme, un prix « Eco-reportages » conçu et initié pour inciter les journalistes francophones à s’intéresser à des réalisations, évolutions et évènements qui témoignent de la mise en œuvre d’un développement plus soutenable pour la planète. L’objectif final étant de stimuler la représentation du terme complexe de « développement durable » de façon accessible et vivante dans les medias et d’encourager une information de qualité sur cette thématique. La remise des prix de la première édition s’est donc déroulée le vendredi 12 février dans le bâtiment INEED à Alixan en présence d’une centaine de personnes, journalistes et élus, membres du jury, chefs d’entreprises et adhérents d’associations qui œuvrent pour ce développement dans notre région.
Notre région - au sens large - était bien représentée par des journalistes du "Pays", de la Drôme et de l'Ardèche. C'est d'ailleurs un drômois, pour un article dans Libération, qui a gagné le premier prix.....
Le jury était composé de 9 membres (des journalistes spécialisés dans l’environnement et l’écologie, des experts et élus) dont Michèle Rivasi , députée européenne, présente à la remise des Prix qui s’est félicité d’une telle création et de la qualité des articles et émissions en compétition.
Trois prix ont été remis à des journalistes parmi une vingtaine de candidats originaires de l’Hexagone, mais aussi d’Outre-mer (Martinique, Guadeloupe) et d’Haïti.

Yves Sciama, journaliste pigiste domicilié dans la Drôme a obtenu le premier prix Eco-reportages 2009 pour son article publié dans le quotidien Libération le 16 septembre 2008 : « Bonne pioche au Sahel »
Le prix a été remis par Hélène Margaron présidente et Louisette Gouverne vice-présidente du Club de la presse 26/07 en présence de Michel Magnan directeur d’ ERDF-GRDF Drôme Ardèche et Alain Fabre, vice-président Energie SDED, les partenaires de ce prix

Robin Charbonnier, journaliste au Dauphiné Libéré, s’est vu décerner le second prix Eco-reportages et entreprises pour la page publiée dans le quotidien du 17 octobre 2009 : « Ces entreprises qui misent sur le vert ».
C’est Joël Roques trésorier de la CCI de la Drôme, parrain de ce prix qui l’a remis au journaliste.

Sébastien Daycard-Heid, jeune journaliste, a été sélectionné pour le troisième prix « Eco-reportages 2009 » catégorie pigiste pour son récit publié le 31 octobre 2009 dans le Monde Magazine : « Colombie, la fièvre de l’or équitable ».
Le prix a été remis par les conseillers généraux Jean-Claude Tournayre pour l'Ardèche et Christine Christine Priotto pour la Drôme en charge de la culture .

mardi 16 février 2010

EXPOSITION A ST RESTITUT : CLIN D'OEIL POUR UN COUP DE POUCE



CLIN D’ŒIL POUR UN COUP DE POUCE….
3 FILLES POUR UN GARÇON A LA MAISON DE LA CURE DE SAINT RESTITUT….
Antoine Blachon, graphiste de métier, réalise essentiellement des affiches pour le milieu du sport. Actuellement il utilise l’acrylique et le pastel sur un support atypique de bois de palettes qu’il assemble et peint. Yasmine Chettouh surprend également par le support de sa performance et la présentation qui en a été faite à Lithos le jour du vernissage. A découvrir sur place !... Marthe Lazarus, qui a eu les honneurs de Canal plus vendredi dernier présente un ensemble de photos montages dont elle est le principal personnage. Enfin, plus classique, Julia Scalbert, par le jeu de transparences subtiles nous transporte dans un univers d’objets non identifiables, qui nous rappellent quelque chose de familier qui pourrait appartenir à la réalité. Une exposition à découvrir jusqu’au 7 mars.
EXPOSITION JUSQU'AU AU 7 MARS
Ouverte tous les jours de 15h à 18h sauf le lundi et sur rendez- vous. Samedi et dimanche de 10h à12h et de 15h à 18h.
Entrée libre et visites commentées. Ateliers scolaires sur RDV.
Tel : 04 75 01 02 91 – mail : lithos@wanadoo.fr
Photo (de g à d) : Marthe Lazarus, Jean Pierre Delay, Christine Forot adjointe représentant le maire, Antoine Blachon, Yasmine chettouh

jeudi 28 janvier 2010

LES VINS DE L'ENCLAVE DES PAPES





GRILLON, RICHERENCHES, VALREAS, VISAN

Au cœur du pays « Une Autre Provence » il existe une entité où la viticulture est une passion, le vin une religion : L’Enclave des Papes . Grillon, Richerenches, Valréas, et Visan, sont les 4 communes qui produisent deux Côtes du Rhône Villages Communaux (Valréas et Visan), des Côtes du Rhône et des vins de table…..
Marc Olivier

Histoire
L’histoire de l’Enclave des Papes est intimement liée à la papauté d’Avignon et à son Vin. Rappelons-en la légende : « lorsqu’en 1317 le Pape Jean XXII , très malade, après son élection à Lyon rejoignait Avignon, il goûta, lors d’une étape, le vin de Valréas (du piquepoul). Il s’en trouva fort ragaillardi…et même très vite guéri ». Aussi, pour en disposer à sa convenance, il acheta la cité au Dauphin du Viennois ». A Visan, sous l’impulsion des Seigneurs puis des Templiers, la viticulture prend son essor. Le vin de Visan était déjà célèbre au XIIème siècle en atteste la présence de la Chapelle « NOTRE DAME DES VIGNES ». En 1475, les vignerons de Visan, avaient fondé une confrérie vineuse dédiée à Saint Vincent, patron des vignerons. C'est une des premières confréries de la région et de France et elle avait la particularité d'être mixte. Elle a été réactivée en août 1978. Cette enclave permettait surtout au Pape de posséder une place-forte au sein des Etats du Dauphiné mais aussi à assurer, comme avec les autres enclaves, le ravitaillement et la richesse. Ses vignerons allaient continuer par delà les siècles et les régimes à produire des vins de qualité dans les trois couleurs. Depuis 1974 le Cellier de l’Enclave des papes (entre Valréas et Visan) commercialise les vins de ses adhérents au rang desquels on compte notamment la Cave La Gaillarde de Valréas, le Cellier des Templiers de Richerenches et de nombreux domaines de l’Enclave (http://www.enclavedespapes.com/ ). Il appartient maintenant au Cellier des Dauphins (siège à Tulette). L’été l’œnotourisme et la culture y font bon ménage, comme le sentier des 4 domaines depuis 4 ans, animations autour de l’artisanat, les arts et le vin.

GRILLON ET RICHERENCHES
Ces deux communes n’ont pas leur nom associé à leur vin. Cela ne les empêche pas de produire d’excellents vins fruités et légers (Côtes du Rhône et Côtes du Rhône Villages), ils sont notamment vinifiés par le Cellier des Templiers à Richerenches. Une cave particulière à Grillon (F. Mura) et deux caves particulières à Richerenches (Domaine Saint-Alban et Domaine de la Giberte) complètent les producteurs de vins des deux communes. La surface en vignes est de 290 hectares sur Grillon et 310 sur Richerenches en Côtes du Rhône et 20ha en vin de table.
Le Cellier des Templiers.
Cette cave coopérative présidée par André Lambert est la dernière cave construite dans les Côtes du Rhône. Elle vient de rentrer sa 40ème récolte. Ce ne sera pas la plus volumineuse puisque produisant en moyenne 45.000 hectolitres de vin, elle sera cette année, à cause de la grêle et du mildiou à 10.000 hectolitres de moins. Mais avec une nouvelle équipe motivée autour de Clémence Monteillard son maître de chais et Julien Parache son technicien vignoble et qualité elle a produit cette année 22.300 hectolitres de Côtes du Rhône ,7.400 hl de Coteaux du Tricastin et 1200 hl de Côtes du Rhône Villages. La qualité des vins 2007, notamment les rouges en fait des vins très fruités, très tendance, qui vont plaire. Adhérente du Cellier de l’Enclave, elle commercialise une grande partie de ses vins par celui-ci ainsi que 10% au Caveau toujours très accueillant. Nous y avons dégusté la cuvée « La Commanderie », un Côtes du Rhône Villages rouge 2005, au nez de cassis très bien structuré et long en bouche qui vaut le déplacement (Prix caveau : 4.85€) . Site : http://www.lecellierdestempliers.com/

VALREAS
Le vignoble s´étend sur la commune de Valréas sur des coteaux en terrasses d´argile rouge, plus ou moins caillouteux. Le climat est comme pour les autres communes de type méditerranéen modifié par le vent (Mistral). Le vin de Valréas a été classé Côtes du Rhône Villages en 1966 pour ses vins rouges, blancs et rosés. Ils sont cultivés sur 2.060 hectares et la production annuelle est de 98.335 hectolitres en 2006, à plus de 90% de rouges (dont 16 760 hectolitres de Côtes du Rhône Villages « VALREAS » rouge). Issus d'un terroir unique (latitude, altitude, sols, exposition et climat), les vins de Valréas allient harmonieusement la puissance à la distinction et le corps à l'élégance. Ils sont produits par des vignerons (une cave coopérative La Gaillarde et 19 domaines), tous très fiers de leur histoire, de leur patrie et de leurs savoirs. Déjà au 18° siècle le cardinal Maury, académicien de Valréas disait : « Pour voir la vie en rose, il faut la mirer dans un verre de Valréas.. » Tout un programme.

Cave La Gaillarde :
La cave « La Gaillarde » a été fondée en 1928 et c’est une alerte octogénaire qui est forte de ses 400 vignerons qui apportent du raisin de l’Enclave mais aussi de la Drôme (25%). Elle produit notamment le fameux Côtes du Rhône Villages « Valréas » (11.000 hectolitres en 2007). Les vins sont déclinés en cuvées variées, vendus dans un caveau accueillant et très fréquenté. Ce sont notamment : Cuvée en Côtes du Rhône - Estimeurs (Rouge), Fleur d'Amandier (Blanc), Pied Vaurias (Rosé), Mistral Coquin (Rosé), en vin de Pays - Gaillardises Chardonnay, Gaillardises Merlot - des vins légers, frais, fruités et conviviaux. Hautes Terres de Polidon (Rouge), Les Tours (Rouge), Saint-Jean (Rouge) : trois Côtes du Rhône de terroir qui vous permettront de surprendre et de ravir vos invités.
Domaine de la Belaise (Rouge), Bornes Papales (Rouge), Valréas Village (Rouge) : trois « Valréas » Côtes du Rhône Villages issus de grands terroirs naturels.
http://www.cavelagaillarde.com/fr/accueil
Photo : la cave » La Gaillarde » à Valréas

Dégustation et consommation des Vins de Valréas
A l´œil : les rouges présentent une belle teinte parfois frangée de violet. Les rosés, sont de teinte soutenue. Les blancs, ont des reflets légèrement verts.
Au nez : les rouges ont un bouquet de fruits rouges, framboises, groseilles, cassis. Rosés et blancs, fruité et vanillé.
En bouche : les rouges sont de puissance moyenne et équilibrée, bien ronds. Saveur de fruits rouges assez persistante. Les rosés sont très fruités et acidulés.
Les blancs sont secs, vifs et aromatiques.


VISAN
Le Vignoble est situé en entier sur la commune de Visan, sur des sols argilo-calcaires rouges caillouteux. Visan est l'un des porte-drapeaux des Côtes du Rhône Villages communaux. Depuis 40 ans Visan a droit à l’appellation communale En 1966, Visan fut classé en Côtes du Rhône Villages pour ses vins rouges, blancs et rosés. Sur une superficie du vignoble de 2.200 hectares , 8 caves particulières, 1 cave coopérative « Les Coteaux » produisent annuellement 14 510 hectolitres de Côtes du Rhône Villages VISAN (2005). Le vignoble fait la part belle aux rouges (85 % rouge, 10 % rosé, 5 % blanc).
Photo : Vignes entre Visan et Valréas, avec vue sur le Ventoux
Cave Les Coteaux : 70 ans de qualité !
La cave (fondée par Ferdinand Delaye en 1897, devenue coopérative en 1937) a apporté au vin de Visan, notoriété et reconnaissance dans tous les milieux grâce à une démarche qualité constante et rigoureuse (sélection parcellaire, investissements importants) qui s’est perpétué sous tous les présidents et directeurs successifs. BP 22 - 84820 Visan Tél. : 04 90 28 50 80 - Fax : 04 90 28 50 81- site : www.coteaux-de-visan.fr Email : cave@coteaux-de-visan.fr

Les Caves Particulières
Elles sont au nombre de huit, certaines depuis quelques années seulement ( Domaine de Lucéna). Différents, mais complémentaires, ces vignerons mettent en scène leur terroir, leur histoire et leur savoir-faire avec talent. Leurs vins ont comme dénominateur commun la finesse et l’élégance, typique de ce terroir. Mais au-delà, chacun d’eux imprime à ses vins sa touche personnelle qui confère à ce vignoble une richesse inouïe. Ici et là, on découvre une gamme de vin aux accents subtils et variés où l’élégance se combine tantôt à la puissance, tantôt à la douceur ou encore à la fraîcheur et au fruit. Un régal pour les papilles, une invitation à la découverte : Domaine de Coste Chaude, Domaine de Lucena, Domaine La Florane, Domaine La Fourmente, Domaine des Grands Devers, Domaine La Guintrandy, Clos du Père Clément, Domaine Roche-Audran
Dégustation et consommation
Derrière leur robe rubis, les vins de Visan dévoilent un joli tempérament rythmé par la finesse, l’élégance et le fruit. Au nez, ils évoquent la palette des fruits rouges : myrtille, mûre, cerise et s’enrichissent de notes minérales et de cuir, dénominateurs communs aux vins de l’appellation. Avec le temps, ils gagnent en générosité et prennent des accents de réglisse, d’épices, de poivre et de truffe. Les rosés, aux couleurs éclatantes, sentent la fraise, la framboise et la cerise. Frais, élégants et joyeux au palais, ils se distinguent par leur nature doucement poivrée. Les blancs vifs et frais séduisent avec leurs arômes d’agrume, de pêche et d’abricot.
A table !
Les vins de l’Enclave mettent naturellement en valeur la cuisine ensoleillée faite avec les meilleurs produits du terroir de la Provence. Des condiments, herbes et légumes : huile d’olive, thym, romarin, laurier, ail, tomates, courgettes, aubergines …sans oublier les mets à base de truffe. Richerenches est le cœur des meilleures terres de la truffe du Tricastin !… Les rouges et les rosés accompagneront les plats à base de légumes farcis, de ratatouille, et autres aubergines. Les rouges s’harmonisent avec le gibier et les viandes, sans oublier le fromage : canards aux olives, daube de bœuf, épaule ou gigot d’agneau, lièvres et grives, picodon… Les rosés avec la charcuterie et les viandes blanches ou en grillade. Les blancs de l’apéritif aux rougets à la tapenade ou aux poissons grillés….
Photo : L’agneau de l’Enclave est l’accord parfait avec les vins rouges de l’Enclave

lundi 18 janvier 2010

QUI ETAIT FERDINAND REVOUL ?





Pour certains un coiffeur, un commerçant,un génial inventeur,un valréassien de souche, pour moi l'arrière grand-père de ma mère, pour nous tous celui qui a amené la prospérité pendant plus de 100 ans à Valréas avec le cartonnage.Venez en apprendre un peu plus sur sa vie , son oeuvre....M.Olivier

L’association « Audaces » et le Musée du Cartonnage et de l’Imprimerie vous proposent le vendredi 22 janvier 2010 une causerie autour de la vie de Ferdinand Revoul, personnage qui a marqué l’histoire industrielle de notre ville. Au milieu du 19ème siècle, sous l'impulsion d'industriels spécialisés dans le commerce de la soie, un artisan de Valréas, Ferdinand Revoul, décide de mettre au point une boîte en carton destinée au transport des œufs de bombyx (vers à soie).
Fort de son succès, il monte sa propre entreprise de production industrielle de boîtes qui connaîtra un essor grandissant dans la région, non seulement auprès des producteurs de soie mais des pharmaciens, bijoutiers …
Quelques années plus tard, Valréas devenait la capitale mondiale de l'industrie du Cartonnage.
C’est Magali Baussan, conservatrice du musée, qui animera cette causerie historique, qui s’inscrit dans la série des veillées « Les petites histoires de l’Enclave » initiée par « Audaces ». La première de ces soirées a eu lieu avec succès le mois dernier à Richerenches, animée par Lulu Arnavon. D’autres suivront, à Grillon et Visan.Comme l’échange se veut participatif, mais aussi convivial, il sera suivi d’une galette des rois et du verre de l’amitié.
Vendredi 22 janvier à 20h30 –Musée du Cartonnage –
Légende Photo : Ferdinand Revoul – Boites crées par F.Revoul puis exposés au musée de Valréas - Magali Baussan

dimanche 3 janvier 2010

BONNE ANNEE 2010





Faudra voir à ce qu'elle ne soit pas pire que 2009 .....

et ça c'est l'affaire de tous !

Marc OLIVIER

mercredi 16 décembre 2009

PHOTOS D'ACTUALITES A ST-RESTITUT


Bénédicte KURZEN : De la photo dite d'actualité à la photo documentaire.

Intéressée par les manifestations anti-globalisation, Bénédicte Kurzen prenait toujours son appareil photo ce qui en fait l’a conduit à la photographie. C'était l'époque de Gène, de Bruxelles, Genève et de toute cette série très médiatisée de manifestations qui devenaient violentes. Entre le cocktail Molotov et l'appareil photo elle a vite fait mon choix. Sa façon de vivre ces soulèvements populaires était de les documenter. Quelques années plus tard, elle s’est retrouvée basée a Gaza pendant plusieurs mois. La frénésie s'acheva lorsqu’un ami lui confia un Rolleiflex et un autre lui proposa de participer à un projet intitulé " violence contre les femmes", auquel participaient de grands noms de la photographie aux quatre coins du monde. Elle a travaillé un mois sur ce sujet. Ca lui a semblé être une éternité, mais en réalité, c'était très peu pour capter l'intimité de ces femmes et les situations humaines qui n'avaient pas leur place dans l'espace public, celui de la rue.
Une fois qu’elle eut goûté a cette façon de travailler, les enjeux et surtout la puissance d'un reportage photo lui semblèrent évident. Elle a ensuite pas mal traîné : en Irak, au Liban, en Egypte. Puis vint le moment en 2005 ou elle déménage en Afrique du Sud. Elle travaille toujours de la même façon. Son Rolleiflex autour du coup.
Le projet qui est exposé à Saint Restitut n'est pas un reportage de guerre. Ou plutôt c'est un reportage sur une guerre passée, et une guerre présente mais intime
C'est ça aussi la vocation d’un journaliste : transmettre des informations et donner une forme visuelle à une réalité fuyante.


PARENTHESE 2009 en résonance avec la biennale de Lyon 2009 jusqu’au 3 janvier 2010 à la Maison de la Cure à St-Restitut avec Matthias BRUGMANN, Galerie Polaris
Jérôme DELAY, Associated Press,Grand prix photo humanitaire 2009, Grand prix du public Bayeux 2009
Bénédicte KURZEN, VII mentor - Noël QUIDU, Agence Gamma, 3 fois World Press
Anthony SUAU, World press 2009

mardi 1 décembre 2009

UNE VALREASSIENNE AU BURKINA FASSO


Joëlle Cayla, opticienne à Valréas, n’a pas hésité à laisser mari et enfants, amis et clients pour quelques jours afin de se mettre au service de ceux qui ont plus besoin que nous. Volontaire pour une opération lancée par son enseigne elle est partie pur le Burkina-Faso mettre ses compétences au service d’enfants qui n’ont pas l’accès aux soins que nous avons la chance de connaitre chez nous. Profitant du déplacement, elle a mis à profit le voyage pour également apporter des livres et notamment des dictionnaires aux enfants du pays. Car s’il est bien de leur permettre d’y voir clair , il est encore mieux de leur donner la possibilité d’avoir accès à l’éducation et à la culture , c’est ainsi qu’ils pourront accéder plus vite à une vie meilleure. Bravo et merci à Joëlle d’avoir été l’ambassadrice de l’Enclave dans ces terres lointaines.Connaissant ses qualités de photographe, que l'on peut déjà apprécier sur : http://photoevasion-jo.blogspot.com/ , nous ne doutons qu'elle va aussi , avec de nombreuses histoires à nous raconter, ramener de magnifiques photos !!!
Photo : Joëlle Cayla