mercredi 27 mars 2013

UN PRIX René RENOU 2012 BIEN MERITE

J'ai participé ce week-end à la remise du Prix René Renou que j'ai fondé il y a quelques années avec des amis journalistes de la FIJEV et avec les élus du Vin. L'occasion de vérifier qu'avec de la volonté et de l'imagination on pouvait faire venir des milliers de personnes dans un des coins les plus reculés du Gers pour écouter une musique qui n'est pas spécialement issue de la tradition (le Jazz) et faire de l'oenotourisme en dégustant des vins qui ne sont pas parmi les plus connus de France (Pacherenc du Vic-Bilh, Saint-Mont, Côtes de Gascogne..). La preuve que quand on veut : on peut!
Que tous nos responsables du Pays s'inspirent de ce qui se fait ailleurs est un de nos voeux les plus sincères pour le Tourisme ( et l'Oenotourisme ) au Pays !
L’Association Nationale des Elus de la Vigne et du Vin* (ANEV) et la Fédération Internationale des Journalistes et Ecrivains du Vin & des Spiritueux (FIJEV) ont créé il y a 5 ans le Prix René RENOU. Ce prix est appelé René Renou en hommage au vigneron et ancien président du Comité Vins de l’INAO (1952-2006). Il récompense la collectivité « ayant le mieux œuvré  au cours de l’année écoulée pour la défense et la promotion du patrimoine culturel lié à la viticulture ». 
Le Lauréat 2012 a été la Commune de MARCIAC dans le Gers.
Le trophée qui récompense le gagnant (sculpture en verre de Frédéric Morin  de Saillans dans la Drôme) a été remis ce samedi 23 mars 2013 au maire de Marciac Jean-Louis Guilhaumon, vice-président du Conseil Régional Midi Pyrénées par Roland Courteau coprésident de l’ANEV et sénateur de l’Aude en présence de nombreux élus et vignerons parmi lesquels le conseil général de Marciac , Francis Daguzan, Marie-Hélène Fabre, députée de l’Aude et vice-présidente de l’ANEV, le président des Vignerons de Plaimont , Joël Bouielh. Dans son discours le coprésident de l’ANEV a félicité les élus de Marciac – et leur maire – pour avoir su défendre et promouvoir le patrimoine important de leur région (cépages, appellation, paysages) en associant le festival Jazz in Marciac aux vignerons de Plaimont et vice-versa.

La Fijev était représentée par Marc Olivier, directeur honoraire de l’ANEV et les partenaires ( dont l'Agence de Presse Une Autre Provence) par André Deyrieux (winetourisminfrance.com). Depuis 35 ans, le village de Marciac accueille chaque été les plus grands noms du jazz. Devenu capitale du Jazz en France, ce Grand Site de Midi-Pyrénées est également la porte d'entrée géographique de l’appellation SAINT MONT.
L'aventure « Jazz in Marciac » est née sous l'impulsion de Jean-Louis Guilhaumon qui, entouré de quelques bénévoles, a organisé en 1978, une série de concerts pendant deux ou trois jours... Aujourd'hui, le Festival s'étend sur 15 jours, accueille les plus grands artistes et reçoit près de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du monde. Les vignerons de Plaimont Producteurs, acteur  majeur du Sud-Ouest, sont associés depuis l’origine à cet évènement incontournable de leur région, d’une envergure devenue internationale.
Photo1  : (de g à d)  Francis Daguzan, Marie-Hélène Fabre, Jean-Louis Guilhaumon, Roland Courteau,   Marc Olivier ,   André Deyrieux et  Joël Bouielh.  

Photo 2 : dégustation de vins et de produits du terroir dans les 11 communes du canton en même temps





mardi 19 mars 2013

RECORD BATTU !


Ce mois-ci le record de fréquentation du Blog de l'Agence de Presse vient d'être battu !
Avec plus de 3200 visiteurs depuis le 18 février soit une moyenne de plus de 100 visiteurs par jour cela fait plaisir de voir que les habitants du Pays n'ont pas complètement perdu le besoin d'information.Surtout qu'avec ce blog ils ont la chance de trouver une information variée, touristique, politique et gustative.Ce sont d'ailleurs les derniers articles sur le chocolat qui font le plus recette.....
Mais la politique n'est pas loin derrière, on sent que les élections municipales approchent et qu'il ne va pas  se dire que des conneries....il va s'en écrire aussi !
Moi le premier !

BILAN DE 5 ANS DE TOURISME A VALREAS : UN CHAMP DE RUINES....



A quelques jours de l’assemblée générale de l’office de Tourisme de VALREAS et de l’Enclave des papes et à quelques mois d’une élection municipale il est temps de faire un bilan des actions touristiques  initiées par ceux qui sont aux rênes de notre ville depuis 5 ans.
Et bien la chèvre est maigre et souffreteuse… que l’on en juge.

- En cinq ans on n’a vu, en matière de Tourisme, aucune ligne directrice, aucun cap n’a été fourni, on a fait du coup par coup. Monsieur  G. Morin, qui  claironne  à cor et à cri  que Valréas est une ville d’Art et d’Histoire, a trouvé une ville sans âme il la rend telle quelle. Ce n’est pas tout de le dire encore faut-il le faire savoir et cela passe par une qualification. Ça tombe  à pic il existe bel et bien un label «  Ville d’Art et d’Histoire » : il irait comme un gant à Valréas. Encore que je ne sais pas si le mieux ne serait pas "Valréas, ville d’histoires..."  
-Tout d’abord on a eu le fameux livre sur Valréas. Pourquoi un livre ? Pour dire quoi ? Un début de communication positive sur la ville ? Sûrement une promesse de campagne … à la journaliste ? À l’éditeur ? On cherche toujours les réponses. Un retentissant flop avec dès le départ la grosse erreur d’avoir confié la rédaction à quelqu’un du monde du vin de Châteauneuf   ! Dans le genre provocation alors que le vignerons étaient en procès avec leurs homologues de Châteauneuf Calcernier on fait guère mieux! Et puis le livre est sorti, et puis plus rien !!!
-Il y a eu ensuite le scandale de La Maison des Terroirs que personne n’a voulu exploiter mais qui en est bien un. Pensez-que le Pays « Une Autre Provence » a alloué plus de 20.000 euros pour financer  une étude qui là encore n’a pas tenu compte de la population locale. On s’en est servi d’abord pour traiter de nul et non avenu des projets œnotouristiques présentés à toutes les communes (dont Valréas). On a dépensé des milliers d’euro  pour venir expliquer qui nous sommes. Et encore à ceux qui auront eu la chance de la lire…car ni les vignerons, ni les responsables culturels, touristiques, ni la population n’ont eu droit à la restitution du travail ni à la justification de l’argent dépensé. J’ai entendu le maire (lors des voeux à la population) dire que le Pays allait payer à Valréas une maison des Terroirs à Simiane ! Et puis quoi encore : un musée des illusions ? Le Pays a fait une bonne action car il n’y avait pas eu de dossier de subvention alloué à Valréas depuis longtemps et il a acheté le silence des élus pour mener d’autres actions ailleurs. Du temps où je siégeais au Pays il était souvent question d’évaluation des sommes distribuées !! Et bien là je dis : Chiche !  Evaluez-nous ça objectivement.je me propose même de vous aider !
-Il y a eu aussi l’achat d’Incarvau qui était un corollaire puisque la maison des Terroirs devait se faire à Simiane et donc la mairie devait déménager ! Là c’est le naufrage complet et on en reparlera car en plus cette grande opération immobilière va plomber les finances locales pendant des décennies !!
- Il y a eu enfin les grands travaux ! En effet chaque élu, qu’il soit maire, président de Communauté, de Département, de Région ou de la République tient à laisser des traces tangibles de son passage. De la Bibliothèque de F. Mitterrand, au Musée des arts premiers de J. Chirac en passant par le palais de Région de G. Frêche ou l’auditorium du Thor de J. Garcin, on a connu ça. Guy Morin lui a lancé plusieurs travaux.
- les entrées de ville : c’était un grand projet visionnaire. Il faut reconnaître que celle venant de Grillon a été travaillée et réussie : siège du rugby, centre médical et fresque sur le mur de l’école sont de bonnes réalisations. Mais le parking -qui devait être un des axes de pénétration piétonnier de la ville - est inaccessible quant on vient de Grillon et ne sert que de sortie aux parents d’élèves (excessivement accidentogène par ailleurs) ! Les autres entrées n’ont pas changé d’un pouce : quand on vient de Nyons on a le fameux M qui pourrait faire croire qu’on arrive à Montcuq ( Monteton ou Monfroc !)  et le rond-point du Cartonnage (Valréas capitale) ! quand on vient d’Orange on a d’abord le fameux radar tronçon  ( le seul du Vaucluse !) puis l’arrivée majestueuse – façon Champs Elysées-  avec l’enfilade de toutes les marques automobiles ! Quand on vIent de Vinsobres on a les poubelles.
-Et puis il y a -bien sûr- la place de la Mairie dont on se demande toujours à quoi servent ses travaux –pharaoniques ( il n’y a pas d’autre mot) – qui vont bloquer la ville pendant 6 mois (minimum) et qui , une fois finis ne feront pas venir une personne de plus à Valréas, qui auront permis de couper des arbres centenaires, de vider le centre ville , de fermer des commerces ( le premier fermé n’a-t-il pas été celui du maire lui-même ?) et de laisser les commerçants, le centre ville exsangue ! A part dépenser de l’argent que l’on n’a pas et faire plaisir au Pharaon je ne vois guère d’autre réponse.
Comme je le disais le bilan est maigre. En parlera-t-on à l’assemblée générale de l’OTSI ? Je ne sais, je n’y serais pas.
Mais me direz-vous on ne vous pas demandé votre avis, vous!
Bientôt ici même nous tenterons aussi un bilan économique, un bilan sanitaire, un bilan éducatif, un bilan culturel, un bilan sportif …il y a donc du pain sur la planche.
Tous ceux qui ont quelque chose à dire sur ces sujets n’ont qu’à me le faire savoir à : apuap@aliceadsl.fr

samedi 16 mars 2013

PORTES OUVERTES SUR LA GOURMANDISE...

Nous vous l'avions annoncé les Journées Portes Ouvertes du Comptoir de Mathilde (à Tulette)  promettaient des surprises .....elles ont eu lieu et il vous reste encore 24 heures pour y aller.....cliquez sur les photos pour les agrandir...

1 - L’extérieur
Bien que pas encore terminé il laisse déjà entrevoir ce que sera l'espace une fois fini...

2 - La serre tropicale : très instructive pour les enfants sur le cacao et son environnement...

 

3- L’intérieur du magasin de vente... magnifique avec ses milliers de cadeaux, ses boutiques....

                           



4- L'atelier
exceptionnellement ouvert ce jour pour les enfants ...là où tout commence...



Un dirigeant heureux : Richard Fournier





jeudi 7 mars 2013

REVUE DE PRESSE DU PAYS 2





Indignez-vous, Journée de la femme .... ICI 

mercredi 6 mars 2013

UNE CHANCE SUR 100

Il y a 100 radars tronçons en France ( à peu près un par département).
Donc un dans le  Vaucluse  ; où croyez-vous qu'ils sont allés le mettre ? Entre Visan et Valréas !

Je sais pas ce que l'on a fait mais alors les 10 plaies d'Egypte comparé à ce qui nous tombe sur la tête depuis quelques années , c'est de la roupie de sansonnet. ( fermeture des usines, fermeture de la maternité, interdiction d'appeler le vin Enclave des papes et depuis peu , sur la place de la Mairie de Valréas, la guerre des tranchées ?).
On avait déjà un radar vers Montélimar, un autre vers Orange et voilà que si vous êtes pressé de rentrer à "l'oustau",  il faudra patienter...bobonne attendra !!!

Mais c'est quoi un radar tronçon ?

La vitesse moyenne de circulation sur routes ou sur autoroutes est contrôlée par des radars d'un nouveau genre, les "radars tronçons". Il s'agit de radars automatiques qui contrôlent la vitesse moyenne de circulation des véhicules sur une distance plus ou moins longue.


Le fonctionnement du radar tronçon est très simple. 

Tout d'abord, une première caméra enregistre le passage de toutes les voitures à l'entrée du tronçon contrôlé  Un ordinateur reconnait automatiquement la plaque d'immatriculation et enregistre l'heure exacte de passage au dixième de seconde près. 

Il en est de même à la sortie du tronçon, une autre caméra enregistre le passage des véhicules et l'ordinateur enregistre la plaque et l'heure. 

Enfin, comme la distance entre les deux caméras est connue, l'ordinateur calcul la vitesse moyenne de circulation sur le tronçon. Par exemple, si la voiture a mis 5 minutes et 45 secondes pour parcourir 12.8 km sur une autoroute, sa vitesse moyenne est de 133.6 km/h au lieu de 130 km/h reglementaire. 

Comme ce système ne fait pas appel à une mesure de vitesse instantanée, il ne devrait pas y avoir de marge de tolérance comme pour les autres contrôles radars. Si vous êtes controlé pour une vitesse de circulation de 133.6 km/h au lieu de 130 km/h, vous recevrez votre contravention par La Poste.
Merci qui ? 


Photo : Un beau radar à l'entrée de Valréas

REVUE DE PRESSE...

Nous aussi on a de bonnes nouvelles par la Presse.... mais pas que....

Comme son nom l'indique....






D'eau et de feu...


Evidemment...


Honni soit.....


Un peu vieux....